le cirque de Calder
Le centre Pompidou nous propose une découverte des années parisiennes de Calder . J'étais resté sous l'impression forte des dessins de Asger Jorn, alors il a fallu une autre visite et le regard de quelqu'un d'autre, de quelqu'un du spectacle pour laisser la place à l'oeuvre de Calder. D'abord l'expo des enfants, ludique, colorée, intelligente, amusante et la découverte du CIRQUE; Un film où les personnages de fil de fer et autres matériaux s'animent sous la main d'un Calder vieillissant et nous invitent à un spectacle fabuleux: le clown, le dompteur, les chevaux, les acrobates...une merveille d'inventivité, de dextérité... mais avant tout de poésie, d'enfance. De la magie qui ouvre le coeur , une retrouvaille avec son âme d'enfance, avec le merveilleux. Apres l'expo pour enfant , vous pouvez retrouver ce film sur grand écran au cabinet d'art graphique , juste en face de Asger Jorn que vous serez aller saluer par la même occasion. D'ailleurs parler d'enfance dans un cas comme dans l'autre parait assez juste. L'un dans l'énergie, la force... l'autre dans le poétique; le léger...
Enfin le dernier étage, on y retrouve le cirque avec toutes les sculptures , les personnages fantastiques et enfin la magnifique série des Josephine Baker, les portraits ... pour au final amorcer ce que l'on connaît le plus de Calder : les mobiles. Pour ma part, je n'y suis guère sensible et je dois reconnaître ne jamais l'avoir été. Mais peut importe, cette exposition, c'est du rêve, de l'enfance retrouvée... Et ,encore une fois , la scénographie du musée Pompidou sert formidablement son propos : une exposition où on circule facilement, lumineuse avec juste ce qu'il faut d'explication pour suivre, mais en légèreté .
Paris nous offre beaucoup d'expositions , d'oeuvres uniques... mais rares sont celles qui sont si légères, si proches du rêve.
Faites comme moi , réconciliez vous avec Calder.
Enfin le dernier étage, on y retrouve le cirque avec toutes les sculptures , les personnages fantastiques et enfin la magnifique série des Josephine Baker, les portraits ... pour au final amorcer ce que l'on connaît le plus de Calder : les mobiles. Pour ma part, je n'y suis guère sensible et je dois reconnaître ne jamais l'avoir été. Mais peut importe, cette exposition, c'est du rêve, de l'enfance retrouvée... Et ,encore une fois , la scénographie du musée Pompidou sert formidablement son propos : une exposition où on circule facilement, lumineuse avec juste ce qu'il faut d'explication pour suivre, mais en légèreté .
Paris nous offre beaucoup d'expositions , d'oeuvres uniques... mais rares sont celles qui sont si légères, si proches du rêve.
Faites comme moi , réconciliez vous avec Calder.